- Il n'y a pas que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, je l'ai toujours dit.
- La souris, qu’est-ce que c’est ? (En 1996, lors de l’inauguration de la bibliothèque François Mitterrand, lors une démonstration d'’informatique)
- Ça m'en touche une sans faire bouger l'autre.
- En matière de politique internationale, on ne retient mes propos que si je dis une connerie.
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Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir.
Le Figaro (magazine, Février 1993)
- Un chef, c'est fait pour cheffer. Le Figaro (magazine, 20 Juin 1992)
- « En 1994 [on pourra] se baigner de nouveau dans la Seine. Et je serai le premier à le faire. » 28 novembre 1988
(cela n'est toujours pas possible en 2005).- J'aime le bon vin, je n'abuse pas. Mais la bière a un avantage, c'est que cela désaltère, vous comprenez désaltérer, cela coupe la soif et il n'y a pas trop d'alcool dedans, beaucoup moins que dans le vin. Alors on peut boire davantage.
- Buvons à nos femmes, à nos chevaux, et à ceux qui les montent. Marianne n°184, p.18
- Vous, les Soviétiques... Cette belle ville de Léningrad... (en visite à Saint-Pétersbourg)
- Moi, je n'aime pas les voitures blindées parce qu'on ne peut pas ouvrir les fenêtres complètement.
J'aime avoir le bras dans une fenêtre ouverte.- Moi, vous savez, je n'aime que deux choses : la trompette de cavalerie et les romans policiers.
- Bien sûr que je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière. Libération (journal, 17 Février 1995)
- Ma femme est un homme politique.
- Pour moi, la femme idéale, c'est la femme corrézienne, celle de l'ancien temps, dure à la peine, qui sert les hommes à table, ne s'assied jamais avec eux et ne parle pas.
- Victor Hugo disait joliment "La nature nous parle, mais nous ne l'écoutons pas".
Je ne suis pas sûr d'ailleurs qu'il parlait d'écologie à ce sujet, mais enfin, peu importe.- Portez des couleurs plus vives, faites-vous sponsoriser par les grands couturiers, soyez bronzés, n'ayez pas l'air de cadavres. (Conseil aux ambassadeurs)
- - Jacques Chirac : Il n’y a aucune immunité pénale pour le président de la République.
- Patrick Poivre d'Arvor (PPDA) : Et pour les responsabilités antérieures ?
- Jacques Chirac : Je trouve que votre question dérape vers une certaine insolence.- On ferait mieux de parler moins de la vache folle et plus de la presse folle.
- J'ai peu de besoin, ma femme non plus.
- J'apprécie beaucoup plus le pain, le pâté, le saucisson que les limitations de vitesse. L'Auto-Journal (1 Août 1977)
- « Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose.
C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence.
Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs.
Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui ensemble gagnent environ 15 000 FF et qui voit sur le palier à côté de son HLM entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses et une vingtaine de gosses et qui gagne 50 000 FF de prestation sociale sans naturellement travailler.
Si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur, eh bien le travailleur français sur le palier, il devient fou.
Et ce n'est pas être raciste que de dire cela.
Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial et il faut enfin ouvrir le débat qui s'impose dans notre pays qui est un vrai débat moral pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier au même titre que les Français d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne payent pas d'impôts. »
(Cette phrase fait à l'époque scandale, est régulièrement rappelée par ses détracteurs, dont la chanson Le bruit et l'odeur de Zebda.)
- Un chef, c'est fait pour cheffer. Le Figaro (magazine, 20 Juin 1992)